oniroïde à l'entrée de l'atelier Trois têtes rapprochées émergent, dans une tension dramatique ambiguë, d'un enlacement de corps dont la chorégraphie suspendue habite un ovoïde de métal réduit à quelques lignes de force
dans les noeuds et entrelacs d'une racine de pin, le dépouillement libère des silhouettes esquissées, en démêler les présences montre la puissance du lien qui unit ce groupe dans une dynamique d'ensemble; la précision où ils se dégagent centre trois têtes rapprochées, dans le corps à corps ambigu d'une lutte: une esquisse féminine, un élan viril plein de jeunesse, une ferme résistance de maturité sans agressivité, l'envol de cet éternel trio est soutenu d'être contenu dans un ovoïde suspendu qui en autorise la vitalité aérienne |